Le logement est un besoin humain fondamental pour la survie en cas de catastrophes de cause naturelle ou humaine, notamment de conflit.

L’Afghanistan a de très importants besoins humanitaires qui sont le résultat de déplacements de population de grande ampleur et de graves crises alimentaires.

Les phénomènes météorologiques extrêmes sont réguliers dans la région de l’Afrique australe et l’océan Indien. Ils se multiplient et s’intensifient encore plus sous l’effet du changement climatique.

Les catastrophes naturelles et les crises d’origine humaine ne sont pas neutres sur le plan du genre – elles produisent des effets différents sur les femmes, les filles, les garçons et les hommes. L’effet varie également selon l’âge.

Un conflit politique non résolu depuis plus de 4 décennies a laissé pour compte des milliers de réfugiés sahraouis dans le Sahara occidental.

En Amérique centrale et au Mexique, le changement climatique, les sécheresses, les orages, la COVID-19, la criminalité et l’instabilité politique ont particulièrement aggravé l’insécurité alimentaire.

L’Amérique du Sud est exposée à de multiples catastrophes naturelles, dont les effets souvent s’additionnent.

La guerre qui a éclaté en 2020 dans le Haut-Karabagh et aux alentours et qui a duré six semaines a eu de graves conséquences sur les habitants de la région. Cette année, l’aggravation du conflit et le cessez-le-feu qui a suivi ont conduit la population à fuir en masse le Haut-Karabagh.

L’Asie centrale est une région constituée de 5 républiques : le Kirghizistan, le Kazakhstan, le Tadjikistan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan. Leurs habitants sont exposés à des catastrophes naturelles très diverses telles que séismes, inondations et pénuries d’eau chroniques.

L’UE octroie une aide alimentaire en anticipation, au cours ou au lendemain d’une crise humanitaire. Son but est de sauver des vies et d’apporter des moyens de subsistance en évitant une famine à grande échelle.

Le Bangladesh continue de servir de terre d’accueil à près d’un million de réfugiés rohingyas. Ils ont fui la répression brutale et les discriminations généralisées dans l’État du Rakhine au Myanmar et vivent actuellement dans les camps de réfugiés du district de Cox’s Bazar et de l’île de Bhasan Char.

La Boîte à outils d’urgence est un des instruments utilisés par la Commission européenne pour apporter son aide en cas de crises brutales et imprévues.

Depuis début 2018, plus de 110 000 réfugiés et migrants sont arrivés en Bosnie-Herzégovine via les Balkans occidentaux, d’après l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). La plupart d’entre eux ont déjà quitté le pays.

La crise complexe et explosive qui secoue le Burkina Faso continue de s’aggraver rapidement et de façon importante. Le pays figure parmi les dix plus pauvres au monde.

Près de 259 000 réfugiés burundais sont encore déplacés dans les pays voisins, la plupart d’entre eux ayant fui le Burundi après les élections contestées et les éclats de violence de 2015

Le Cameroun est confronté à 3 crises humanitaires complexes et simultanées : (i) dans l’extrême nord du pays (près du lac Tchad et du Nigéria), (ii) dans les régions du nord-ouest et du sud-ouest (où des groupes armés s’opposent au gouvernement), et (iii) en République centrafricaine voisine.

La capacité d’intervention humanitaire européenne est un ensemble d’outils opérationnels conçu pour pallier les manques de la réponse humanitaire apportée en cas de risques naturels soudains et de catastrophes causées par l’homme.

Deuxième région au monde la plus exposée aux catastrophes, les Caraïbes sont régulièrement frappées par des dangers d’origine naturelle et humaine.

Le centre de coordination de la réaction d’urgence (ERCC) est au cœur du mécanisme de protection civile de l’UE. Il coordonne l’acheminement de l’aide aux pays frappés par une catastrophe, tels que les articles de première nécessité, l’expertise, les équipes de protection civile et le matériel spécialisé.